Commentaire de Autrefois, quand septembre en larmes revenait.

 

 

        Ce texte est un poème issus du recueil intitulé « Les solitudes », de René François SULLY PRUDHOMME. Le thème principal est le sentiment ressenti par les jeunes pensionnaires d’une école dans l’encadrement scolaire.

 

         L’auteur parle des jeunes enfants timides, des moqueries qu’ils doivent supporter et des longues soirées, passées seuls, dans le dortoir. Ils sont décris comme des enfants parfaits en apparence, « Leurs blouses sont très bien tirées - Leurs pantalons en bon état - Leurs chaussures toujours cirées » mais pourtant ils sont malheureux et mal à l’aise. C’est comme si l’enfance était une punition pour eux, ils ont peur de tout, du maître (« Ils frissonnent sous l’œil du maître »). Nous pouvons relever tout un champ lexical de la tristesse, du malheur, de la punition : « pleurent », «frissonnent », « malheureux », «réprimande », « terreur », «martyre », «sanglotant ».